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11/03/2016

Une critique de mon dernier bouquin

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...avec tout ça je me m'étais même pas rendu compte que Patrice Maltaverne avait, en novembre dernier, publié une recension succincte et vachement bien vue de 99 noms d'un seul truc sur son blog Poésie chronique ta malle.

"Ce que j'apprécie, c'est le côté "ni Dieu ni maître !" qui ressort de ces poèmes courts.

Cette bonne dose d'anarchisme qui me donne envie de vivre plus intensément."

Je ne sais pas si on peut dire quelque chose de plus beau sur un recueil de poésies. Merci à lui !

 

99 noms d'un seul truc est toujours en vente sur le site des éditions Gros textes.

 

22/06/2015

C'est beau, c'est con, ça vient de sortir

 

Aime ta connerie.

Porte-la fièrement.

Plonge-toi dans le catalogue des éditions Gros Textes.

Et pendant que t'y es, découvre la poésie contemporaine.

Et l'œuvre du type qui a fait la couverture.

Et causes-en à ton libraire.

Car c'est joli, compact, ça tient dans la poche, ça fait 81 pages et et tout ça pour 7 euros.

Et ça rappe, et ça gratte, et ça décape, du moins on a bossé pour.

Bref, une date dans l'histoire de l'esprit humain.

Particulièrement dans un contexte contemporain.

J'aurais dû le dédier à Alain Finkielkraut, tiens.

 

 

22/03/2015

Simon, Paola, Jacques & moi

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Une critique des deux dernières livraisons du Pédalo Ivre, à savoir La Vie est trop vraie de Simon Allonneau et mon D'origine, est à lire dans le dernier numéro de la revue Décharge. Vous pouvez cliquer sur l'image pour l'agrandir, ou, mieux, vous pouvez commander la revue en cliquant sur le lien ci-dessus.

Merci à l'équipe de Décharge pour ces encouragements, et en particulier à Jacmo, si c'est bien l'auteur de cette chronique.

Quant à un axe Polder/Gros Textes/Le Pédalo ivre, je suis le premier à abonder dans son sens, d'abord parce qu'en tant que lecteur, ces maisons publient à mon sens ce qui se fait de plus vivant en poésie aujourd'hui, ensuite parce que, si le planning de publication du Pédalo avance comme prévu, la tendance devrait encore s'accentuer dans les mois qui viennent.

 

Dans un autre registre, Paola Pigani échauffée par quelques propos malheureux de Jacques Réda sur la poésie et l'oralité, m'adresse un petit clin d'œil sur son blog. 

Cara Paola, je suis bien d'accord avec toi, mais le droit à causer comme un vieux con reste un droit fondamental, pour ceusses qui ont écrit un jour des choses magnifiques comme pour les autres...