24/11/2014
This is fucking poetry !
09:46 Publié dans Gueuloir | Tags : lecture de poésie, korova bar, samantha barendson, melchior liboa, pauline catherinot, brigitte baumié | Lien permanent | Commentaires (0)
18/11/2014
Flonflons & poésie Lyon/Grenoble/Châteauroux-les-Alpes
C'est donc dans l'est sauvage que ça se passe ce week-end, et outre votre serviteur il y aura Samantha Barendson, Katia Bouchoueva et Fred Houdaer pour vociférer.
C'est Gros Textes qui organise, l'une des meilleures maisons d'édition poétiques du siècle (et je pèse mes mots). Et pas seulement parce que j'ai déjà eu la chance de bosser avec eux...
Merci à Yves Artufel et à tout le comité d'édition.
07:00 Publié dans Gueuloir | Tags : lecture de poésie, châteauroux-les-alpes, gros textes, samantha barendson, katia bouchoueva, frédérick houdaer, yves artufel | Lien permanent | Commentaires (0)
15/11/2014
Lendemain de
(Photo de Trevor Rêveur, mon pote du groupe Red City Noise)
Cher monde cruel, un lendemain de lecture, c'est toujours pareil.
Avec toute l'énergie qui m'est passée dans le corps je sais d'avance que je n'arriverai jamais à dormir.
Mais je m'en fous.
On a bien bossé, moi et mon trac. Et mon pote, qui fait toujours de la musique, un peu plus près de l'Italie, sous le nom de Lovataraxx, googlisez, ça vaut le coup.
Ce coup-ci l'ambiance était tellement saloon qu'on a même eu notre esquisse de baston à la fin, pour quelque chose d'aussi con et magnifique que l'amour de l'art.
(D'une manière générale, au cours de cette soirée, beaucoup de gens ont fait des choses connes et magnifiques, par amour de l'art. C'était d'ailleurs si beau que personne ne s'est fait de pognon, à part l'épicier de nuit du coin de la rue.)
(Il faut toujours un épicier.)
Alors ce soir je suis si con et magnifique que j'ai envie de remercier le monde entier sauf quelques exceptions de ne pas se faire de pognon.
C'est débile, c'est puéril, et je m'en fous.
Je remets ça samedi prochain encore beaucoup plus près de l'Italie, et je vais sortir mon trac, on va vibrer ensemble, si on bosse bien d'autres homo sapiens avec leur propre trac/rage/frustration/tendance à la dépression vibreront aussi, mais quoi qu'il en soit, j'aurai à nouveau cette pile à 10 000 volts entre les omoplates, et je me retournerai dans mon lit, et je compterai les heures qui me restent avant le matin, et je mettrai les deux jours suivants à m'en remettre.
Mais je m'en fous. Depuis vingt-quatre heures, et pour une nuit encore, je vis sans ma boule au ventre.
Et en soi, ça justifie déjà tout.
22:57 Publié dans Bouts de peau, Gueuloir | Tags : lendemain de lecture, trac, amour de l'art, con et magnifique | Lien permanent | Commentaires (0)