11/11/2012
Théorie des genres
je n'ai
rien contre l'intelligence mais
faire taire le CON en soi c'est quand même
laisser toute la place à la tête de
NOEUD
17:32 Publié dans Conneries | Tags : connerie, sagesse, théorie des genres | Lien permanent | Commentaires (0)
08/11/2012
Poème de l'aspirine (projet hors)
[...]
Je me levais,
Un verre d'eau.
Je me relevais,
Un verre d'eau.
Je désespérais,
Une aspirine.
Du coup je ne dormais jamais. J'observais sur moi les effets de l'aspirine. C'est formidable de possibles, une aspirine. L'attente. Le Jugement. Même quand ça ne marche pas. On sait que la nuit suivante on se relèvera pour une aspirine, pour un espoir, pour un possible, pour une attente. Il n'y a que l'attente qui compte parce que là où ça démange, on ne peut pas se gratter. Parce que c'est à l'intérieur, parce que ça ronge de l'intérieur, parce que ça fait vibrer l'intérieur, progressivement jusqu'à l'angoisse, jusqu'à l'ivresse, jusqu'au fond du rire incontrôlable, jusqu'au suicide, jusqu'à
L'aspirine.
Et parce qu'on est, toujours, soi
En-dehors.
(Pause.)
Et puis c'est efficace contre le mal de tête.
[...]
(Extrait du projet HORS. Pour plus d'aspirine, rendez-vous samedi 10 novembre à 20 heures à la Boulangerie du Prado, 69 rue Sébastien Gryphe, 69007 Lyon.)
08:56 Publié dans Gueuloir | Tags : théâtre, sisma, projet hors, boulangerie du prado, aspirine | Lien permanent | Commentaires (0)
05/11/2012
Lectures de textes théâtraux ce samedi
Délocalisation du gueuloir dans la bouche des autres :
Ce samedi 10 novembre, à 20 heures, la compagnie Sisma (voir le lien ci-contre), organise une lecture de textes théâtraux à la Boulangerie du Prado dans le cadre du projet HORS.
Une île déserte.
Trois personnages.
Pas mal de questions.
Textes de Mathieu Dufour et Grégoire Damon.
Dits par Clémentine Jolivet, Hélène Triboulet et Mathieu Dufour.
Boulangerie du Prado : 69 rue Sébastien Gryphe 69 007 LYON.
Adhésion : 1 euro.
Venez nombreux !
09:38 Publié dans Gueuloir | Tags : hors, sisma, lecture, hélène triboulet, mathieu dufour, clémentine jolivet | Lien permanent | Commentaires (0)