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28/06/2014

Le type à qui je parlais

 

Heptanes.jpg

(photo Fred Houdaer. Enfin je crois. Je l'ai piquée sur son blog.)

 

 

Pour ceusses qui n'auraient pas compris à qui s'adressait le post précédent, il s'agit d'un individu de type crypto-gascon au crâne rasé intitulé Heptanes Fraxion.

Ce monsieur est l'auteur d'un Calepin (c'est le titre) qui, actuellement, accompagne mon shoot de caféine matinal et contribue à rendre ma journée un peu plus acceptable.

(s'il y a des enfants parmi vous, retenez bien ça : la poésie c'est comme les clopes, c'est le matin que c'est le meilleur)

Je sais, je ne fais pas de pub d'habitude, mais ce coup-ci c'est différent parce que :

1) le Calepin en question est hors commerce et ne risque donc pas de détourner mes millions de lecteurs potentiels ;

2) Il y a quatre mecs vivants dont l'écriture dont l'écriture me fout une claque à la tronche à chaque fois que je les lis. Tous peu, mal ou pas publiés. N'y cherchez aucune espèce d'arrière-pensée politique, c'est comme ça. Et il se trouve qu'Heptanes en fait partie.

Un exemple au pif :

 

... y a le fameux bus qui part pour les steppes... le vieux bus censé traverser... 350 kilomètres de dépression très fertile... un autre monde... soi-disant désert... un lieu saint ou selon... un lieu de perdition... qui remédiera peut-être... à ce truc qui ne veut pas que je vive...

 

Pour résumer :

Employés de bureaux, agents du patrimoines, chômeurs informatisés, hanteurs de cybercafés désoeuvrés, mères de familles à l'heure de la sieste, insomniaques accros à la souris, sortez-vous donc les doigts du cul de Facebook et allez donc faire un tour sur son blog. Je vous garantis que c'est un des trucs les plus vivifiants que vous pourrez trouver sur la toile.