Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

17/03/2014

Grosse semaine dans la glotte

Que reste-t-il, après le Printemps des poètes ?

Eh bien, je vous le donne en mille : le printemps. Et les poètes. 

A titre personnel, je participerai à deux lectures cette semaine :

- Ce mercredi (19 mars), en compagnie d'Annie Zadek, Mohammed El Amraoui, Emmanuelle Pireyre et Jean-Pierre Bobillot, je ferai la clôture du cycle de conférences La poésie, et maintenant ? organisée par l'Arald avec la complicité des sieurs Dubost, Houdaer et Renard. 

Programme complet ici

Vous remarquerez au passage que les organisateurs de l'événement ont pris soin de ponctuer les débats de performances - Rengade, Bouchoueva, Dubost, rien que ça ! - ça ne devrait pas trop ronronner, donc.

Merci à Philippe Camand pour l'invitation.

 

- Samedi, dans une toute autre ambiance, je participerai à la Nuit du Slam organisée par l'espace Pandora et la Tribut du Verbe - à qui je tire mon chapeau au passage.

 

gueuloir,arald,espace pandora,la tribut du verbe,nuit du slam,clacson,bibliothèque municipale de lyon,lecture de poésie,emmanuelle pireyre,mohammed el amraoui,jean-pierre bobillot,annie zadek,fred houdaer,katia bouchoueva,patrick dubost

 

Pour ma part, je déclamerai à partir de 20h, mais je compte bien bouger la tête en votre compagnie dès 18h et jusqu'au bout de la nuit.

Pour toutes infos pratiques, cliquez sur l'image ou allez voir ici.

 

Et ça continue la semaine prochaine. La suite bientôt.

 

 

09/02/2014

Les affaires reprennent

Cher Monde Cruel.

 

C'est encore moi.

Oui, je t'ai négligé.

Oui, les femmes les enfants les administrations le travail et tout le reste.

Mais ce n'est pas la raison principale.

La raison principale, c'était le Gros Truc en Prose.

Celui qui m'occupe depuis plus d'un an et demi.

Qui m'a fait déserter les bistrots.

Qui m'a pratiqué l'ablation d'un bon nombre d'heures de sommeil.

Qui a dû me foutre ma banquière à dos d'une façon ou d'une autre.

Alors, voilà : cette fois c'est fini. Je te le dis et je le répéterai sous la torture, je ne disséquerai plus une seule virgule avant au moins deux ans.

C'est que merde, d'abord.

Il n'y a pas que ça.

Dans la vie. À ce qu'on dit.

Il y a aussi le Syndicat qui s'internationalise.

Ça, c'est grâce aux bons soins de la grande Samantha

C'est-à-dire que nous voilà en lien avec la "non-revue de littérature et autres" Margutte, en Italie.

Tu peux lire ça en italien, ou en français, comme tu préfères.

Et si mes rapports avec l'Italie et l'italien t'intéressent, tu peux toujours aller voir chez Polder si j'y suis.

Mais il n'y a pas que ça.

C'est que les affaires reprennent, dans le coin.

En mars, par exemple, tu me verras (avec ou sans les camarades du syndic) m'égosiller cinq fois en à peine dix jours.

Le mercredi 19 mars, d'abord, l'Arald organise une série de tables rondes autour du thème "La poésie et aujourd'hui". 

Et ça déclamera sec : Bouchoueva, Bobillot, El Amraoui, Pireyre, Zadek... et mézigues, un peu vers la fin.

Le 22 mars, avec l'Espace Pandora et la Tribut du verbe au Clac'son (Oullins) à partir de 18 heures.

Puis, le 24 et le 25, braquage poétique au Carré 30 (Lyon) avec Bressande & Brérot

Et pour finir, le Syndicat, en son nom pour le coup, ira chanter le printemps au CEDRATS le 31 mars. 

Et après, qu'ils osent dire que les gens veulent plus bosser...