Pour ceusses qu'auraient suivi les derniers épisodes

Et voilà que s'achève ce truc, qu'on a appelé janvier 19.

Rencontrer des lycéennes et des lycéens - se prendre leur créativité et leur spontanéité dans sa vieille gueule arthritique.

Lancer une putain de super revue gratuite en donnant de l'élan à plusieurs -

Aller voir ce qui se passe au niveau de la prospective de l'anthropocène tout ça, et essayer d'y apporter ses quelques miettes de viande reconstituée réflexion.

Faire l'écrivain : bon, bon.

Merci à tous. Ça a été de l'énergie à donner et à prendre.

Maintenant, il faut se remettre au projet en cours, au Gros Truc en Prose (GTP) susnommé.

Remettre le scaphandre.

Descendre.

Sortir ses doigts engourdis du cul du néant.

Pour le coup : écrire.

Amis qui vous vous paumez par hasard sur ce blog, une bise avant de partir.

Si je ne suis pas remonté dans six mois, attendez plus longtemps.

 

À l'école de l'Anthropocène - dimanche 27 janvier 2019 & other dates

 

 

Ladies, gentlemen, mutantes, robots, protozoaires, additifs alimentaires, blobs, tardigrades, amies, potos,

je lirai ce dimanche 27 janvier à 15h des bouts de mon roman Fast food & autres textes en vraie viande reconstituée au cours d'un grand événement pluridisciplinaire organisé par l’École Urbaine de Lyon,

 

À L'ÉCOLE DE L'ANTHROPOCÈNE

 

"Un grand événement pluridisciplinaire organisé par l’École Urbaine de Lyon. Une semaine pour apprendre, débattre et construire des propositions avec des scientifiques, des penseurs, des artistes, des politiques, des associations…
Des séquences pour tous les publics : Ateliers, conférences, débats, lectures, séminaires, un plateau radio, des expositions photos, des installations vidéos, une programmation cinéma, une programmation jeune public, une grande librairie..."

 

Aux Halles du Faubourg

10 Impasse des Chalets, 69007 Lyon

 

Programme complet & toute autre info ici.

 

À vous y.

 

 

Une bouteille de champagne contre la coque en papier d'une revue de poésie

 

Cher monde cruel,

 

Accepte ce modeste cliché par Agnès Dufour de moi sur scène un paquet de 24 rouleaux de PQ à la main et causant à Fabien Drouet.

C'était vendredi dernier, à la soirée de lancement de la revue gratuite 21 minutes et c'était puissant.

Un lancement foutrement réussi - comme une bouteille de champagne balancée contre la coque d'un navire, la coque était en papier, la bouteille s'est brisée quand même.

Ceusses qui étaient là ont pu repartir avec leur exemplaire.

Ceusses qui se baladeront dans le métro lyonnais dans les semaines qui viennent risquent de s'en voir proposer gracieusement à la correspondance.

Les autres pourront bientôt d'où qu'il soient télécharger la revue en Pdf.

Tout le monde me pardonnera d'insister sur le fait que tout ce tremblement de la poésie vivante et vivifiante et qui respire et qui sent n'est possible que parce que des individus comme Drouet (à droite sur la photo, à gauche sur la guitare) ont décidé un jour que dormir c'était bon pour les tristes.

Respect, gars.